Si la capture du premier cœlacanthe vivant en 1938 est considérée comme la plus grande découverte zoologique du 20ème siècle, il est des ouvrages traitant du fameux poisson qu’on aurait préféré savoir oubliés dans les profondeurs de l’océan livresque. Alors pourquoi étaler l’anatomie de ce nouveau venu sur les pages du DinOblog ? C’est que la créature est trop surprenante pour ne pas être disséquée. Une fois « Le cœlacanthe, une espèce animale à l’épreuve des médias » ouvert, le livre de Florent Barrère à l’épreuve de notre scalpel, les viscères se répandent aussitôt. Ils sont étranges et révèlent bien des difformités. Les erreurs sont aussi abondantes que le sont les écailles « pédonculées » (sic) sur le corps de notre poisson. En voici une petite sélection. Lire plus…