Les cœlacanthes ne meurent jamais
Lionel Cavin, notre paléoichthyologue suisse préféré, adore les cœlacanthes, ces gros poissons huileux avec un e dans l’o et leur a donc consacré un petit livre aux éditions du Cavalier Bleu. Lire plus…
Lionel Cavin, notre paléoichthyologue suisse préféré, adore les cœlacanthes, ces gros poissons huileux avec un e dans l’o et leur a donc consacré un petit livre aux éditions du Cavalier Bleu. Lire plus…
La cryptozoologie est une discipline qui se penche sur le cas d’animaux à l’existence controversée, dont la réalité n’est attestée que par des témoignages multiples et convergents, des savoirs autochtones ainsi que de rares indices matériels : elle constitue ainsi un domaine frontière de la zoologie nous prévient d’entrée Benoît Brison, auteur de l’ouvrage « du Yéti au calmar géant, le bestiaire énigmatique de la cryptozoologie ». Bernard Heuvelmans (1916-2001) fut l’un de ses grands praticiens et a donné la définition la plus brillante de l’exercice : « il est extrêmement difficile d’attraper un chat noir dans une chambre obscure, surtout s’il ne s’y trouve pas. » Voilà voilà… Lire plus…
Il nous l’avait annoncé lors des dernières rencontres du Dinoblog début juillet. C’est chose faite. Le dernier livre de Jean-Louis Hartenberger est désormais dans toutes les bonnes librairies et autres supermarchés de la culture. Il s’agit d’un choix de 37 chroniques dont la plupart a paru sur la plateforme scilogs du magazine Pour la science alors que d’autres viennent d’ici, du Dinoblog, comme Depuis quand les cachalots ont le melon ? qui donne son titre à l’ouvrage. Lire plus…
L’illustre auteur de bande dessinée Jacques Tardi nous aurait-il roulés dans la farine, nous les fidèles lecteurs d’Adèle Blanc-Sec ? Grave accusation, je n’en disconviens pas… Hélas les preuves sont irréfutables, et je ne puis les garder plus longtemps par devers moi…
Que nous affirme exactement Tardi, avec un aplomb impressionnant ? Que la première aventure d’Adèle (Adèle et la Bête) commence le 4 novembre 1911 à 23h45 précises pour s’achever au cours du mois de décembre de la même année (dans la nuit du 4 au 5 décembre, soit exactement un mois plus tard). Mais notre auteur, dont chacun connaît la rigueur et le souci de l’exactitude, a laissé de minuscules indices dans son œuvre qui démentent formellement cette assertion, des indices qui ont apparemment échappé jusqu’ici à la sagacité des historiens. Lire plus…